p a r i s_______l i g n e s

 

site créé par Nicolas Droin et Prosper Hillairet

 

 

  

 

"Une belle veine sociologique-urbaine pour le cinéma expérimental"

Dominique Noguez

 

 

 

"Retrouver les sensations des crépuscules dans la rue,

comme si Baudelaire et Benjamin nous prenaient sous leurs ailes."

Journal de Abla - Revue Jeune cinéma

 

 

 

 


 

 

 

 

AffichePONTS141223.jpg

 

 

 

Un pont sous lequel passe « des éternels regards l’onde » de la Seine « si lasse »

Jacques Roubaud (d’après Apollinaire)

 

 

Une traversée de Paris par la Seine, d’un pont l’autre, d’est en ouest.

Du pont National au pont du Garigliano.

Un film par pont, son architecture, son histoire, sa construction, son style.

 

 

Un commencement en amont : 5 ponts, 5 films.

Pont National (Rails), Pont de Tolbiac (Sombre), Passerelle Simone de Beauvoir (Onde),

Pont de Bercy (L’inconnu du pont de Bercy), Pont Charles de Gaulle (L’attaché-case).

 

 

 

 

 


 

 

 

 

Entré libre

 

Cinéma L'Ecran

 

 

 


 

SIGNES URBAINS

 

 

vlcsnap-2020-07-06-19h14m29s738.jpg

 

 

 

Trois derniers extraits du film SERIE/SENTIERS (2010)

 

 sont à découvrir en ligne : 

 

 

VOIR LES FILMS

 

 

 

 

 


 

 

 

MOTIFS URBAINS

 

 

vlcsnap-2020-05-20-17h48m46s909.jpg

 

 

 

 

Trois extraits du film SERIE/SENTIERS (2010)

 sont à redécouvrir en ligne : 

 

 

VOIR LES FILMS

 

 

 

 

 


 

 

ESPACES URBAINS

 

 

photobio.jpg

 

 

 

Trois extraits du film SERIE/SENTIERS (2010),

toujours à redécouvrir en ligne : 

 

 

 

VOIR LES FILMS

 

 

 

 

 


 

 

 

 

REVUE JEUNE CINEMA

 

 

jc402-403.jpg

 

 

La revue Jeune Cinéma vous présente son site

infos, chroniques, critiques

Jeune Cinéma

 

 

Sur le journal de Abla du site,

les films de Paris Lignes sont évoqués au regard de la situation actuelle

 

 

"Leurs merveilleuses déambulations dans Paris, les espaces, motifs et signes urbains qu’ils filment et mettent en ligne nous réconfortent. Coupés du monde réel, réduits à des corps à alimenter et privés des besoins essentiels de nos esprits, on bricole avec ce qu’on a déjà à la maison, bibliothèques et télés.
C’est bon d’aller faire des petits tours en ville, de flâner au delà de nos misérables cellules, de retrouver les sensations des crépuscules dans la rue, comme si Baudelaire et Benjamin nous prenaient sous leurs ailes."

 

 

 

 


 

 

 

Blanche Pigalle Barbès

 

 

BPB03.jpg

 

 

 

Blanche Pigalle Barbès

rejoint, avec Quadrilatère et Mannequins,

le catalogue de la coopérative CINEDOC

 

 

Blanche Pigalle Barbès

 

 

Quadrilatère

 

 

Mannequins

 

 

 

 

 


 

 

 

INSTANTS

Prosper Hillairet

 

 

 

vlcsnap-2020-01-22-20h39m33s535.jpg

 

 

Des instants extraits d'images filmées au fil du temps,

 

archéo documentaire et proto fictionnel,

des bouts de monde/embryons de narration

 

 

 

voir les films

 

 

 


 

 

 

 

LA PETITE PLAQUE

 

 

 

 pp.jpg

VOIR LA VIDEO

 

 

 

Déambulation/surimpression parisienne,

sur des paroles et une musique de Yannick Le Nagard

et un montage images de Mélanie Forret

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

180px-Hammershoi_sunlight.jpg 838_v._hammershoi-interior_woman_standing.jpg

 

 

  "Ce qui me fait choisir un  motif, c'est tout d'abord les lignes,

ce que j'appellerai la tenue architectonique du tableau.

Et puis la lumière évidemment."

 

 

Vilhem Hammershoï

(entretien avec Carl Christian Clausen)

 

 

 

 

 

     3194991315.jpg   6UEfJbplJnFhuKZHehEoX8zIfUQ.jpg

 

 

 

 

 

Jean-Pierre Melville voulait dépayser/faire voyager, 
dans/à partir de sa chambre, 
Hammershoï voyageait en transportant sa chambre

 

 

 

 

 


 

 

 

 

“Mais Paris est un véritable océan. Jetez-y la sonde, vous n'en connaîtrez jamais la profondeur. Parcourez-le, décrivez-le : quelque soin que vous mettiez à le parcourir, à le décrire ; quelques nombreux et intéressés que soient les explorateurs de cette mer, il s'y rencontrera toujours un lieu vierge, un antre inconnu, des fleurs, des perles, des monstres, quelque chose d'inouï, oublié par les plongeurs littéraires."

 

 

Honoré de Balzac, Le Père Goriot

 

 

 

 

 


 

 

LIGNE A LIGNE

 

 

001 - Copie.jpg002 - Copie.jpg

035.jpg047.jpg

 

 

 

Parcourant les rues, les routes, déambulant, photo-graphier les lignes du paysage, des paysages, urbains, marins. Les repérer, les isoler, les cadrer. Lignes tracées sur les murs, le ciels, le bitume. Rencontres de couleurs, de textures, de matières. Les bords de mer, de terre, de toits, les horizons. Une ligne, deux lignes, trois, … multiples. Les lignes se révèlent, prolifèrent.

Tout est ligne.

Droites, mais peuvent parfois dévier.

Et les lignes se composent, convergent, divergent. Forment tableau, réseau. Echo. Commencé avec un simple appareil photos (environ 400 prises), maintenant avec un mobile.

Plusieurs modes d’expositions possibles : en lignes, au hasard, ordonnées, en séquences, sur les murs d’une galerie, en flipbook, en ligne internet

A être poursuivi par vous. Et vous pouvez prolonger, dans la droite ligne, mais aussi contourner, détourner, dérouter.

La droite ligne peut être gauchie.

Vous êtes appelés non pas à vous aligner, mais à vous en-ligner.

 

Prosper Hillairet

 

 

 

 

Le projet est hébergé sur le site RHUTHMOS de Pascal Michon

Voir

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 ALAIN VIRMAUX, ARCHIVISTE DU FEU

 

 

 

 

 

 UN TEXTE D'ANDRE ROUMIEUX EN HOMMAGE A ALAIN VIRMAUX

 

LIRE LE TEXTE

 

André Roumieux est l'auteur de l'ouvrage "Artaud et l'asile"

 

EN SAVOIR PLUS

 

 

 

 

 

 

 

LES EAUX NOIRES

 


 

 

 

 

 

 

 

COLETTE AU PALAIS-ROYAL

 


 

 

 

 

 

 

 MATRICULE 262602,

ANTONIN ARTAUD A VILLE-EVRARD

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

vlcsnap-2014-10-31-14h39m32s201.png vlcsnap-2014-10-31-14h39m06s189.png

 

 

 

« L’amour de Paris ça ne s’explique pas,
C’est comme l’amour tout court.
Tu ne peux pas imaginer combien j’ai aimé Paris,
Combien j’ai aimé être seul dans cette grande ville.
Je rêvais d’une vie entière libre sans attache.
J’aimais tout ce qui faisait penser à l’aventure, au départ.
Je me baladais partout, je regardais,
J’étais fou de Paris et de ma liberté toute neuve »

 

 

 

L’Amour à la mer - Guy Gilles.

 

 

 retrouvez sur ce site des informations sur Guy Gilles, et sa vision de Paris

Guy Gilles

 

 

 

 

 

 


 

 

LUI.jpg

 

Marche / Ligne

 

 

"Je connais bien cette fatigue qui me permet de marcher trois ou quatre heures sans m'arrêter, - et qui ne me permet que cela, - qui m'enferme dans une déambulation dont je ne peux sortir qu'en tombant dans le sommeil. Elle est là ; je suis depuis quelque temps déjà la ligne qui se trace devant moi à mesure que j'avance ; bien qu'elle me soit invisible ..."

 

 

La Nuit de Londres, Henri Thomas, 1956

 

 

 

 


 

 

 

 

vlcsnap-196578.png

 

 

« La ville comme point de rencontre de nos souvenirs et de nos désirs. Un espace-temps que le cinéma a fait sien en l’exprimant rythmiquement »

 

 

Michelangelo Antonioni

 

 

 

 

 


 

 

 

 

4.JPG
 Photographie : Louise Skira

 

 

 

"L'espace est resté voyou et il est difficile d'énumérer ce qu'il engendre.

Il est discontinu comme on est escroc"

Georges Bataille

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 Rue Hautefeuille, Eugène Atget, 1898

 

 

 

« Je me suis dit que Paris, où les murs et les quais, l’asphalte, les collections et les décombres,

les grilles et les squares, les passages et les kiosques, nous apprennent une langue singulière,

devait nécessairement être le lieu où, dans la solitude qui nous étreint,

absorbés que nous sommes dans ce monde d’objets,

nos relations aux êtres atteignent la profondeur d’un sommeil

où les attend l’image de rêve qui leur révèle leur vrai visage »

 

 

Walter Benjamin

 

 

 

 

  

_______________________________________________________________

voir des extraits des films :
http://www.dailymotion.com/parislignes


pour toute information sur les films de la série Paris Lignes,
contacts :
Nicolas Droin
nicodroin@yahoo.fr
Prosper Hillairet
prosperhill@hotmail.com